Les techniques traditionnelles 

Acupuncture et phytothérapie traditionnelles, moxibustion japonaise dite en "grain de riz", 

Nous utilisons des techniques traditionnelles et contemporaines issues des grands textes fondateurs comme le Ling Shu pour l'acupuncture, le Shang Han Lun et le Jing Gui Yao Lue pour la phytothérapie. Ces savoirs ont été revus, redécouverts, retravaillés, réinventés par de très grands chercheurs contemporains comme Maître Tung, le Dr Tan, Wang Ju Yi, Feng Shi Lun, Hou Xi Shu, Huang Huang, Maitre Fukaya et bien d'autres. Notons aussi les disciples de ces lignées comme Philippe Sionneau, Suzanne Roubidoux, Filip Caudet qui poursuivent ces recherches.
moxibustion japonaise appelé chinetsokyu

Le Moxa - Moxibustion 

selon la technique japonaise : Kyu (Onkyu, Okyu)

Le "moxa", c'est l'utilisation de feuilles d'armoise préalablement séchées que l'on brule. On confectionne à la main de petits cônes qui sont posés à des endroits précis sur la peau. Soit ils entrent directement en contact avec la peau par une petite combustion, c'est la technique de moxibustion directe appelée Tonetsokyu où les cônes en forme de "grain de riz" sont de quelques millimètres ; soit c'est moxibustion indirecte c'est à dire pas de combustion en  contact avec la peau, sous la forme de cônes un peu plus gros (photo).
Extrêmement efficace dans de nombreuses applications comme les tendinites, les fatigues chroniques, le stress, les tensions entre les omoplates, les trapèzes, cervicales, cervicalgie, les douleurs abdominales....
Au Japon, contrairement aux autres pays, cette technique est tellement importante que l'on est soit moxibusteur soit acupuncteur. On ne peut être les deux.
Les japonais ont développé énormément cette technique du moxa à partir des textes anciens chinois. Ils ont réussi à conserver et perpétuer la forme la plus pure de cette technique telle qu'énoncée dans les classiques. En chine, on l'a bien souvent remplacé par le moxa-bâton" usiné en forme de cigare et qui est surtout utiliser pour réchauffer le corps. La version classique que les japonais ont conservé a des applications bien plus larges.
Nous pratiquons entre autres le style du maitre japonais Fukaya et de Sawada, le style "grain de riz", le Tonetsokyu et le Chinetsokyu, le kintsekyu de Felip Caudet, le technique du Tai Ji abdominal.


La phytothérapie

Décoction de plantes

La phytothérapie chinoise entre en complément des autres techniques.
Sous forme de décoction de plantes, d'une soupe, elle est un soin naturel qui, s'il est bien prescrit, est d'une extrême efficacité et ce même pour des cas sévères, chroniques, et anciens.
La phytothérapie que nous  étudions et pratiquons se fonde sur le livre Shang Han Lun dans la lignée de Dr Hu Xi Shu, très grand médecin chinois, et son disciple, le Dr Feng Shi Lun qui pratique ce style en Chine que l'on nomme les Jing Fang ("les prescriptions classiques").

L'acupuncture

Mettre en lien les réseaux qui parcourent le corps

 Il n'y a pas une seule acupuncture ni une seule phytothérapie chinoise.
Les techniques et approches au sein de la médecine chinoise sont multiples et répondent à des lignées de praticiens, des "écoles" et des livres fondateurs. 

L'acupuncture que nous pratiquons est une acupuncture dite "de réseaux" qui va mettre en circulation et dans une relation particulière, les canaux (les méridiens) qui traversent le corps. Elle se fonde entre autre sur le Ling Shu et sur les approches plus contemporaines comme le style de Master Tung ou du Dr Tan, deux grands maitres contemporains qui ont oeuvré à faire connaitre leurs secrets au plus grand nombre.

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